Archive
Événement pour la célébration annuelle de la Bourse d’écriture Monique Wittig
En hommage à Monique Wittig, la bourse d’écriture Monique Wittig encouragera l’innovation dans les formes littéraires et le lien entre la politique et la langue. Elle permettra aux étudiants diplômés et de premier cycle de l’Université de l’Arizona de consacrer plus de temps à leur écriture.
With readings by
Marianna ColesCurtiss (Gagnant de la bourse)
Eguono Lucia Edafioka (Finaliste)
Isaac Esposto (Finaliste)
Anne F. Garréta
Elizabeth Lapovsky Kennedy
Marcia Klotz
Laure Murat
Sandra Soto
Sande Zeig
Dominique Bourque (traduction française)
Soirée lectures L’Opoponax
« Mon opoponax est un chef d’œuvre d’écriture … » écrit Marguerite Duras en 1964 à propos de ce premier livre de Monique Wittig, lauréate du prix Médicis. En 2014 l’association des ami.es de Monique Wittig organisait à la Maison de la Poésie à Paris, une soirée de lectures musicales avec la comédienne Isabelle Lafon accompagnée de Vassili Schémann à la batterie. Emmanuelle Bernheim, Marie Darrieussecq, Anne F. Garréta, Marie Nimier, Emmanuelle Pireyre, écrivaines récipiendaires du prix Médicis ont également lu des extraits pour célébrer les 50 ans de la remise de ce prix à Monique Wittig.
Soirée lectures Les Guérillères
«Elles disent qu’elles partent de zéro. Elles disent que c’est un monde nouveau qui commence » écrit Monique Wittig dans Les Guérillères en 1969 . Laure Murat, Anne F. Garréta, Rebecca Chaillon, Virginie Despentes lisent des extraits de ce texte lors de cette soirée de lecture organisée à la Maison de la Poésie à Paris par l’association des ami.es de Monique Wittig en 2019. (ami.esdewittig@gmail.com).
Les Guérillères de Monique Wittig – Une lecture musicale, théâtralisée et chorégraphiée
ENTREE LIBRE
dans la limite des places disponibles
Philomel – groupe inter-disciplinaire d’études sur le genre a Sorbonne Université – le service Cultural de SU et la Cie AcThéArt.
Interprétée par AULAINE, Estelle GRAND et Kaja KJAJDA
Reseignements à : www.facebook.com/actheart & http://www.culture-sorbonne.fr/agendaculturel/evenements/les-guerilleres/
Le couteau sans lame et dépourvu de manche, exposition collective inspirée par Les Guérillères
Le CRAC Alsace, Centre rhénan d’art contemporain, situé à Altkirch, en France, au 18 rue du Château, présente du 13 octobre 2019 au 12 janvier 2020, Le couteau sans lame et dépourvu de manche, exposition collective avec Meris Angioletti, Tarek Lakhrissi, Candice Lin, Beatriz Santiago Muñoz, Liv Schulman, Marnie Slater, Patrick Staff, Lena Vandrey, sur un commissariat d’Elfi Turpin. Elle réunit des artistes dont le travail explore les forces transformatrices du langage dans un processus de décatégorisation, de désidentification des corps et des relations, et/ou dont les œuvres d’anticipation se situent après Les Guérillères. L’exposition Le couteau sans lame et dépourvu de manche fait partie de cette expérience de lecture.
Études wittigiennes
Lieu de ressources documentaires et de publications sur et autour de l’œuvre littéraire et théorique de Monique Wittig
Nouvelle publication sur Monique Wittig
Dans Unbecoming Language, Annabel L. Kim examine un corpus français d’écriture contre la différence. Inauguré par Nathalie Sarraute et soutenu dans les travaux de Monique Wittig et Anne Garréta, ce corpus met en lumière trois générations du vingtième et du vingt et unième siècle ainsi que la chaîne d’influence directe qui les unit.
Les Guérillères à La Maison de la poésie
Nouvelle parution Les Guérillères dans la collection de poche des Éditions Minuit
« Mon but a été de faire que le elles arrive comme un choc pour le lecteur, comme une surprise ; puisqu’elles tient tout le récit il doit s’ensuivre une sorte de désorientation. Le lecteur entre dans un livre et se trouve confronté avec un elles qui n’est pas familier, pas ordinaire et qui est nouveau et héroïque. En tout cas, c’est ce qui m’a guidée et l’espoir que ce elles pourrait situer le lecteur dans un espace au-delà des catégories de sexe pour la durée du livre. C’est peut-être ici que réside l’utopie. » (M. W.)